L’ambition de Stadia n’a (presque) rien donné. Le service qui voulait proposer une plateforme de jeu révolutionnaire dans le cloud – notre analyse ne l’a pas trouvé si révolutionnaire – s’essouffle. Hier Google semblait accepter la défaite et changé de stratégie avec le service. Il a également révélé quelques nouvelles supplémentaires dans le domaine des jeux vidéo dans Stadia et Chrome OS.
Lors d’un événement pour les développeurs de jeux vidéo, la société a annoncé que la technologie Stadia sera disponible sur le service Immersive Stream for Games, qui fera partie de Google Cloud. Ou ce qui revient au même : il est proposé à d’autres entreprises pour qu’elles puissent monter “leurs Stadias” avec leurs propres catalogues de jeux.
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Qui a vu et qui te voit
De cette façon, tout développeur de jeux vidéo pourra profiter du travail que Google avait déjà fait pour proposer son propre service de streaming de jeux vidéo. C’est une façon de ne pas gaspiller tout ce qui a été fait ces dernières années, mais également une reddition symbolique de Google contre des rivaux comme GeForce NOW, xCloud ou Amazon Luna.
Le service, baptisé Immersive Stream for Games – les rumeurs évoquaient le nom de « Google Stream » – devient ainsi une plateforme « clé en main » pour les entreprises qui souhaitent disposer d’un « Stadia personnalisé ».
Cette approche a déjà été lancée l’année dernière lorsque l’opérateur AT&T a offert à ses clients la possibilité de jouer à “Batman : Arkham Knight” depuis le cloud.
Il semble qu’en fait le propre AT&T profitera bientôt à nouveau de ce service avec un jeu jouable aussi bien sur PC et portable que mobile, ce qui vous permettra de donner plus de valeur à votre déploiement 5G.
Plus d’actualités pour un Stadia qui ouvre ses portes spécialement aux entreprises
Lors de l’événement ‘Google for Games Developer Summit’, la société en a profité pour soulever d’autres nouvelles. Parmi eux se trouvait le ouvrir l’accès à la fonctionnalité « Cliquez pour jouer les essais ».
Cette option permet à vos partenaires de publier des démos de jeux vidéo sur Stadia pour tout joueur – même ceux qui n’ont pas de compte – de jeter un œil à ces titres. À l’heure actuelle, une telle démo est disponible : il s’agit de « Risk of Rain 2 », et vous pouvez profiter du jeu pendant 60 minutes.
L’accès au magasin Stadia est également ouvert, ce qui vous n’aurez plus besoin d’avoir un compte sur le service vérifier si le catalogue répond à nos besoins : le service continuera donc à fonctionner comme avant, mais il le fait de manière plus ouverte, notamment aux partenaires et développeurs de jeux vidéo.
Une deuxième nouveauté réside dans les nouveaux outils qui permettent aux développeurs Porter des jeux sur Stadia. Nous avons déjà parlé de l’hypothétique émulateur Windows pour Linux, qui est en fait une initiative appelée “Low Change Porting” (un autre nom difficile à retenir).
Ce projet offre un support amélioré pour les moteurs Unity et Unreal, par exemple, et il y a déjà plus de 10 développeurs comme Paradox Interactive ou Team 17 qui profitent de cette offre pour apporter leurs jeux sur Stadia dans les semaines à venir.
Google a bien donné des clés pour créer cet émulateur afin que chaque développeur puisse mieux adapter ses jeux, mais il ne semble pas qu’ils auront les leurs ni qu’ils ont annoncé le support immédiat des jeux Windows.
Enfin, Steam est désormais disponible – oui, en phase alpha – sur les Chromebooks. Le problème n’est pas seulement que la fonctionnalité est disponible dans ce format d’aperçu, mais que pour que les utilisateurs puissent en profiter devra avoir un ChromeBook avec des processeurs Intel Core de 10e ou 11e génération: Peu d’ordinateurs de ce type sont équipés de ces microprocesseurs. La liste initiale, en fait, est courte.
L’ambition de Stadia n’a (presque) rien donné. Le service qui voulait proposer une plateforme de jeu révolutionnaire dans le cloud – notre analyse ne l’a pas trouvé si révolutionnaire – s’essouffle. Hier Google semblait accepter la défaite et changé de stratégie avec le service. Il a également révélé quelques nouvelles supplémentaires dans le domaine des jeux vidéo dans Stadia et Chrome OS.
Lors d’un événement pour les développeurs de jeux vidéo, la société a annoncé que la technologie Stadia sera disponible sur le service Immersive Stream for Games, qui fera partie de Google Cloud. Ou ce qui revient au même : il est proposé à d’autres entreprises pour qu’elles puissent monter “leurs Stadias” avec leurs propres catalogues de jeux.
Qui a vu et qui te voit
De cette façon, tout développeur de jeux vidéo pourra profiter du travail que Google avait déjà fait pour proposer son propre service de streaming de jeux vidéo. C’est une façon de ne pas gaspiller tout ce qui a été fait ces dernières années, mais également une reddition symbolique de Google contre des rivaux comme GeForce NOW, xCloud ou Amazon Luna.
Le service, baptisé Immersive Stream for Games – les rumeurs évoquaient le nom de « Google Stream » – devient ainsi une plateforme « clé en main » pour les entreprises qui souhaitent disposer d’un « Stadia personnalisé ».
Cette approche a déjà été lancée l’année dernière lorsque l’opérateur AT&T a offert à ses clients la possibilité de jouer à “Batman : Arkham Knight” depuis le cloud.
Il semble qu’en fait le propre AT&T profitera bientôt à nouveau de ce service avec un jeu jouable aussi bien sur PC et portable que mobile, ce qui vous permettra de donner plus de valeur à votre déploiement 5G.
Plus d’actualités pour un Stadia qui ouvre ses portes spécialement aux entreprises
Lors de l’événement ‘Google for Games Developer Summit’, la société en a profité pour soulever d’autres nouvelles. Parmi eux se trouvait le ouvrir l’accès à la fonctionnalité « Cliquez pour jouer les essais ».
Cette option permet à vos partenaires de publier des démos de jeux vidéo sur Stadia pour tout joueur – même ceux qui n’ont pas de compte – de jeter un œil à ces titres. À l’heure actuelle, une telle démo est disponible : il s’agit de « Risk of Rain 2 », et vous pouvez profiter du jeu pendant 60 minutes.
L’accès au magasin Stadia est également ouvert, ce qui vous n’aurez plus besoin d’avoir un compte sur le service vérifier si le catalogue répond à nos besoins : le service continuera donc à fonctionner comme avant, mais il le fait de manière plus ouverte, notamment aux partenaires et développeurs de jeux vidéo.
Une deuxième nouveauté réside dans les nouveaux outils qui permettent aux développeurs Porter des jeux sur Stadia. Nous avons déjà parlé de l’hypothétique émulateur Windows pour Linux, qui est en fait une initiative appelée “Low Change Porting” (un autre nom difficile à retenir).
Ce projet offre un support amélioré pour les moteurs Unity et Unreal, par exemple, et il y a déjà plus de 10 développeurs comme Paradox Interactive ou Team 17 qui profitent de cette offre pour apporter leurs jeux sur Stadia dans les semaines à venir.
Google a bien donné des clés pour créer cet émulateur afin que chaque développeur puisse mieux adapter ses jeux, mais il ne semble pas qu’ils auront les leurs ni qu’ils ont annoncé le support immédiat des jeux Windows.
Enfin, Steam est désormais disponible – oui, en phase alpha – sur les Chromebooks. Le problème n’est pas seulement que la fonctionnalité est disponible dans ce format d’aperçu, mais que pour que les utilisateurs puissent en profiter devra avoir un ChromeBook avec des processeurs Intel Core de 10e ou 11e génération: Peu d’ordinateurs de ce type sont équipés de ces microprocesseurs. La liste initiale, en fait, est courte.
L’ambition de Stadia n’a (presque) rien donné. Le service qui voulait proposer une plateforme de jeu révolutionnaire dans le cloud – notre analyse ne l’a pas trouvé si révolutionnaire – s’essouffle. Hier Google semblait accepter la défaite et changé de stratégie avec le service. Il a également révélé quelques nouvelles supplémentaires dans le domaine des jeux vidéo dans Stadia et Chrome OS.
Lors d’un événement pour les développeurs de jeux vidéo, la société a annoncé que la technologie Stadia sera disponible sur le service Immersive Stream for Games, qui fera partie de Google Cloud. Ou ce qui revient au même : il est proposé à d’autres entreprises pour qu’elles puissent monter “leurs Stadias” avec leurs propres catalogues de jeux.
Qui a vu et qui te voit
De cette façon, tout développeur de jeux vidéo pourra profiter du travail que Google avait déjà fait pour proposer son propre service de streaming de jeux vidéo. C’est une façon de ne pas gaspiller tout ce qui a été fait ces dernières années, mais également une reddition symbolique de Google contre des rivaux comme GeForce NOW, xCloud ou Amazon Luna.
Le service, baptisé Immersive Stream for Games – les rumeurs évoquaient le nom de « Google Stream » – devient ainsi une plateforme « clé en main » pour les entreprises qui souhaitent disposer d’un « Stadia personnalisé ».
Cette approche a déjà été lancée l’année dernière lorsque l’opérateur AT&T a offert à ses clients la possibilité de jouer à “Batman : Arkham Knight” depuis le cloud.
Il semble qu’en fait le propre AT&T profitera bientôt à nouveau de ce service avec un jeu jouable aussi bien sur PC et portable que mobile, ce qui vous permettra de donner plus de valeur à votre déploiement 5G.
Plus d’actualités pour un Stadia qui ouvre ses portes spécialement aux entreprises
Lors de l’événement ‘Google for Games Developer Summit’, la société en a profité pour soulever d’autres nouvelles. Parmi eux se trouvait le ouvrir l’accès à la fonctionnalité « Cliquez pour jouer les essais ».
Cette option permet à vos partenaires de publier des démos de jeux vidéo sur Stadia pour tout joueur – même ceux qui n’ont pas de compte – de jeter un œil à ces titres. À l’heure actuelle, une telle démo est disponible : il s’agit de « Risk of Rain 2 », et vous pouvez profiter du jeu pendant 60 minutes.
L’accès au magasin Stadia est également ouvert, ce qui vous n’aurez plus besoin d’avoir un compte sur le service vérifier si le catalogue répond à nos besoins : le service continuera donc à fonctionner comme avant, mais il le fait de manière plus ouverte, notamment aux partenaires et développeurs de jeux vidéo.
Une deuxième nouveauté réside dans les nouveaux outils qui permettent aux développeurs Porter des jeux sur Stadia. Nous avons déjà parlé de l’hypothétique émulateur Windows pour Linux, qui est en fait une initiative appelée “Low Change Porting” (un autre nom difficile à retenir).
Ce projet offre un support amélioré pour les moteurs Unity et Unreal, par exemple, et il y a déjà plus de 10 développeurs comme Paradox Interactive ou Team 17 qui profitent de cette offre pour apporter leurs jeux sur Stadia dans les semaines à venir.
Google a bien donné des clés pour créer cet émulateur afin que chaque développeur puisse mieux adapter ses jeux, mais il ne semble pas qu’ils auront les leurs ni qu’ils ont annoncé le support immédiat des jeux Windows.
Enfin, Steam est désormais disponible – oui, en phase alpha – sur les Chromebooks. Le problème n’est pas seulement que la fonctionnalité est disponible dans ce format d’aperçu, mais que pour que les utilisateurs puissent en profiter devra avoir un ChromeBook avec des processeurs Intel Core de 10e ou 11e génération: Peu d’ordinateurs de ce type sont équipés de ces microprocesseurs. La liste initiale, en fait, est courte.
L’ambition de Stadia n’a (presque) rien donné. Le service qui voulait proposer une plateforme de jeu révolutionnaire dans le cloud – notre analyse ne l’a pas trouvé si révolutionnaire – s’essouffle. Hier Google semblait accepter la défaite et changé de stratégie avec le service. Il a également révélé quelques nouvelles supplémentaires dans le domaine des jeux vidéo dans Stadia et Chrome OS.
Lors d’un événement pour les développeurs de jeux vidéo, la société a annoncé que la technologie Stadia sera disponible sur le service Immersive Stream for Games, qui fera partie de Google Cloud. Ou ce qui revient au même : il est proposé à d’autres entreprises pour qu’elles puissent monter “leurs Stadias” avec leurs propres catalogues de jeux.
Qui a vu et qui te voit
De cette façon, tout développeur de jeux vidéo pourra profiter du travail que Google avait déjà fait pour proposer son propre service de streaming de jeux vidéo. C’est une façon de ne pas gaspiller tout ce qui a été fait ces dernières années, mais également une reddition symbolique de Google contre des rivaux comme GeForce NOW, xCloud ou Amazon Luna.
Le service, baptisé Immersive Stream for Games – les rumeurs évoquaient le nom de « Google Stream » – devient ainsi une plateforme « clé en main » pour les entreprises qui souhaitent disposer d’un « Stadia personnalisé ».
Cette approche a déjà été lancée l’année dernière lorsque l’opérateur AT&T a offert à ses clients la possibilité de jouer à “Batman : Arkham Knight” depuis le cloud.
Il semble qu’en fait le propre AT&T profitera bientôt à nouveau de ce service avec un jeu jouable aussi bien sur PC et portable que mobile, ce qui vous permettra de donner plus de valeur à votre déploiement 5G.
Plus d’actualités pour un Stadia qui ouvre ses portes spécialement aux entreprises
Lors de l’événement ‘Google for Games Developer Summit’, la société en a profité pour soulever d’autres nouvelles. Parmi eux se trouvait le ouvrir l’accès à la fonctionnalité « Cliquez pour jouer les essais ».
Cette option permet à vos partenaires de publier des démos de jeux vidéo sur Stadia pour tout joueur – même ceux qui n’ont pas de compte – de jeter un œil à ces titres. À l’heure actuelle, une telle démo est disponible : il s’agit de « Risk of Rain 2 », et vous pouvez profiter du jeu pendant 60 minutes.
L’accès au magasin Stadia est également ouvert, ce qui vous n’aurez plus besoin d’avoir un compte sur le service vérifier si le catalogue répond à nos besoins : le service continuera donc à fonctionner comme avant, mais il le fait de manière plus ouverte, notamment aux partenaires et développeurs de jeux vidéo.
Une deuxième nouveauté réside dans les nouveaux outils qui permettent aux développeurs Porter des jeux sur Stadia. Nous avons déjà parlé de l’hypothétique émulateur Windows pour Linux, qui est en fait une initiative appelée “Low Change Porting” (un autre nom difficile à retenir).
Ce projet offre un support amélioré pour les moteurs Unity et Unreal, par exemple, et il y a déjà plus de 10 développeurs comme Paradox Interactive ou Team 17 qui profitent de cette offre pour apporter leurs jeux sur Stadia dans les semaines à venir.
Google a bien donné des clés pour créer cet émulateur afin que chaque développeur puisse mieux adapter ses jeux, mais il ne semble pas qu’ils auront les leurs ni qu’ils ont annoncé le support immédiat des jeux Windows.
Enfin, Steam est désormais disponible – oui, en phase alpha – sur les Chromebooks. Le problème n’est pas seulement que la fonctionnalité est disponible dans ce format d’aperçu, mais que pour que les utilisateurs puissent en profiter devra avoir un ChromeBook avec des processeurs Intel Core de 10e ou 11e génération: Peu d’ordinateurs de ce type sont équipés de ces microprocesseurs. La liste initiale, en fait, est courte.
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