L’histoire est pleine de dirigeants qui sont devenus célèbres grâce à la conquête, Civilisation 6 Il fait un excellent travail en mettant en évidence certains de ces dirigeants et en permettant aux joueurs d’incarner des personnages historiques. Dans Civilization VI, il existe généralement cinq façons possibles pour les joueurs de gagner la partie, et la conquête en fait partie. Gagner le jeu par conquête est une question de tactique, de timing et de compétence. Savoir quand déplacer des troupes et déclarer la guerre est essentiel, et choisir des chefs qui incarnent l’art de la guerre est essentiel.
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Dans notre série de leaders Civilization VI en cours, nous mettrons en évidence certains des meilleurs leaders parmi lesquels choisir sous certaines conditions de victoire. Notre première partie couvrait les meilleurs leaders pour la victoire scientifique, et maintenant nous allons nous concentrer sur les cinq meilleurs leaders à choisir si la domination mondiale est le nom du jeu.
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Alexandre de Macédoine
Il ne fait aucun doute qu’Alexandre le Grand, l’un des conquérants les plus prolifiques de l’histoire, a été un étourdissant absolu dans Civilization VI. Toutes les capacités d’Alexandre tournent autour de la guerre et de la conquête de villes, donc Alexandre est encouragé à partir en guerre tôt et à rester jusqu’à la fin du jeu, incarnant le célèbre dicton “Alexandre a pleuré parce qu’il n’avait plus de monde à conquérir”.
Commencez par le leadership d’Alexandre : jusqu’au bout du monde. Cela permet à la ville d’Alexandrie de ne jamais connaître la lassitude de la guerre, qui est souvent un gros problème pour les civilisations guerrières. Si les unités d’Alexandre capturent une ville qui a construit un miracle dans ses limites, elles guériront également, ce qui est un joli petit bonus. Alexandre a été conçu pour être constamment en guerre, ce qui lui a permis de faire exactement cela. Sans l’ennui de la guerre, la ville d’Alexandre resterait heureuse tant que les besoins fondamentaux d’Alexandre seraient sous contrôle, alors Alexandre était libre de concentrer son attention sur les lignes de front.
L’avantage de la civilisation macédonienne va de pair avec le style de jeu axé sur la guerre d’Alexandre. Ce privilège s’appelle la fusion hellénistique. Hellenistic Fusion accorde à Alexander une Eureka pour chaque camp et district de campus dans les villes qu’il conquiert, et une Inspiration pour chaque sanctuaire et place de théâtre. Cette capacité compense complètement l’inconvénient de commencer une guerre précoce, car commencer une guerre précoce signifie que les joueurs concentrent leur production sur les armées plutôt que sur l’infrastructure. Souvent, cela signifiera que les civilisations en guerre seront laissées pour compte sur les fronts scientifiques et culturels.
Cependant, la fusion hellénistique a permis à Alexandre de suivre le rythme des autres civilisations en raccourcissant le temps de recherche requis pour la technologie et les citoyens. Il convient également de mentionner qu’Alexandre possède deux unités uniques extrêmement puissantes dans Civ 6 : Hetairoi et Hypaspist. Ces deux unités pourraient aider à cimenter le départ précoce d’Alexandre vers une victoire de domination boule de neige.
Basile II de Byzance
Basile II de Byzance est l’un des nouveaux visages de Civilization 6, rejoignant Ambiorix et les civilisations gauloises. Basile II est une force avec laquelle il faut compter dans le jeu de la religion et de la domination. Commencez par le leadership de Basile II : Porphyrogénnētos. Cette capacité permet aux unités de calvaire lourdes et légères de Basil II d’infliger tous les dégâts lorsqu’elles attaquent des villes de la même religion que Basil II. L’unité unique de Basil II, Tagma, est également déverrouillée lors de la recherche de Diving Right. Comme on aurait pu le deviner, le Tagma est une unité lourde de calvaire avec l’avantage unique de donner aux unités terrestres proches +4 Force de combat ou +4 Force religieuse.
Avant la sortie initiale de Civilization VI, les troupes du Calvaire pouvaient bénéficier d’unités de siège adjacentes telles que des béliers et des tours de siège. Cette “fonctionnalité” a été supprimée il y a quelque temps, de sorte que les différentes unités sont pratiquement inutiles contre les murs. Cependant, la capacité de leadership de Basile II supprime complètement la résistance de 85% des murs de la ville à la ville, tant que Basile II est quelque peu préventif dans sa propagation religieuse. Parlez d’un buff majeur.
Porphyrogénnētos correspond bien à la capacité civilisée de Byzance : les taxis. Taxi donne à toutes les unités byzantines +3 Force de combat ou +3 Force religieuse pour chaque ville sainte qui se convertit à la religion byzantine (y compris les villes saintes byzantines). De plus, la religion byzantine se répand chaque fois que Byzance bat des unités hostiles de cités-états ou d’autres civilisations. Les lieux saints byzantins génèrent également 1 point de Grand Prophète supplémentaire par tour. Pour en tirer pleinement parti, les joueurs doivent se concentrer tôt sur la religion, trouver leur religion et utiliser des missionnaires et des apôtres pour répandre leur religion dans les villes voisines afin de gagner des récompenses de combat contre eux.
Ensuite, une fois la religion en place, le joueur doit déclarer la guerre totale. Plus les villes saintes (une ville où une civilisation a établi une religion) convertissent byzantines, plus leurs unités seront fortes, donc cela devrait être une cible à tout moment sur la carte. Basil II nécessite plus d’échecs 4D mentaux que certains leaders dominants, mais les avantages en valent la peine.
Shaka zoulou
Shaka est un excellent leader pour ceux qui veulent avoir une armée forte et peuvent essentiellement se construire avec une bonne planification. Shaka a besoin de travail avant cela, mais la mise à niveau d’unités standard en légions et armées en un clin d’œil est quelque chose dans laquelle Shaka excelle. Semblable à Alexander, Shaka peut facilement faire boule de neige une fois qu’une guerre commence, ce qui en fait un excellent choix pour ceux qui recherchent un chef de guerre agressif et total. La capacité de leadership de Shaka est Amaputo, qui permet à Shaka de former des légions et des armées plus tôt que les autres civilisations, ce qui se traduit par des unités puissantes à un très jeune âge. De plus, tous les corps et armées de Shaka obtiennent +5 Force de combat.
Capacités de la civilisation zoulou : Isibongo poursuit cette orientation régiment/armée. Isibongo stipule que lorsqu’une unité zoulou capture une ville, l’unité est mise à niveau vers une légion, ou une légion vers une armée, tant que les citoyens requis sont déverrouillés. Si une unité est stationnée dans une ville, la ville gagne +3 loyauté par tour, passant à +5 si l’unité stationnée est une légion ou une armée. Une infrastructure unique pour les Zoulous est Ikanda, qui est une alternative au camp. Non seulement Ikanda est moins cher que Campement, mais Zulu peut former des corps et des armées 25% plus rapidement dans les villes avec Ikanda. Combinés, ces facteurs ont permis aux Zoulous de constituer une armée forte qui s’est allongée au fur et à mesure que la guerre avançait. Tant que les Zoulous ont des citoyens adaptés aux légions et aux armées (encore une fois, débloqués plus tôt que tous les autres citoyens), alors Shaka est une force avec laquelle il faut compter et l’un des meilleurs leaders pour assurer la victoire pour la domination.
Simon Bolivar de la Grande Colombie
Simon Bolivar de Gran Colombia est également l’un des nouveaux visages de Civilization VI, ajouté comme l’un des leaders du nouveau Frontier Pass. Simon Bolivar est unique pour de nombreuses raisons. D’une part, contrairement à la plupart des civilisations que nous avons couvertes jusqu’à présent, ses forces résident dans ses capacités de leadership, et non dans ses avantages civilisationnels. Deuxièmement, Simon Bolivar a sa propre lignée de grands généraux suppléants, appelés commandants généraux, qui lui sont propres. La capacité de leadership de Simon Bolivar est l’admirable Campania, qui fait de Simon Bolivar le commandant général au début de chaque ère. Ces commandants généraux se comportent comme de grands généraux (que Simon peut toujours obtenir) et ont des bonus uniques. Les généraux commandants ont des avantages passifs qui ne se cumulent pas avec les autres généraux commandants, mais ils se cumulent avec les grands généraux. Donc, en avoir un est une énorme aubaine pour toutes les troupes à proximité.
La capacité de civilisation de la Grande Colombie est Ejército Patriota, qui donne +1 de mouvement à toutes les unités de la Grande Colombie. De plus, booster une unité ne met pas fin à la transformation de l’unité – un avantage qui ne doit pas être sous-estimé. Gran Colombia consiste à assembler une armée forte et bien promue, à les combiner avec des commandants et des généraux, et à les déplacer sur la carte à une vitesse inégalée par d’autres civilisations. Lorsqu’il est utilisé correctement, Simon Bolivar aura presque toujours un général qui fournit +5 de force (+10 pour le commandant et le général), et cet avantage seul est difficile à contrer. Une fois que la Grande Colombie existait dans les temps anciens, leur puissance militaire a commencé à faire boule de neige si elle n’était pas contrôlée.
Tomiris de Scythie
Tomiris, l’assassin de Cyrus et chef scythe, a un objectif très spécifique en ce qui concerne son armée : la cavalerie légère. Tomyris est une leader très franche, et ses capacités sont peu susceptibles de dérouter les joueurs, ce qui en fait un excellent choix pour les joueurs qui débutent dans Civilization VI et qui recherchent un leader solide et fort. Le chef de Tomyris, Perk, est le tueur de Cyrus. Cyrus Killer donne aux unités de Tomyris +5 Force de combat lorsqu’elles attaquent des unités endommagées. Après avoir tué une unité, l’unité attaquante guérira jusqu’à 30 points de santé. Cela fonctionne bien lorsqu’il est associé à des archers ou à d’autres unités à distance qui peuvent paralyser la cible avant que le cogneur de Tomiris n’arrive et ne fasse le travail. La guérison supplémentaire permettra à Tomiris de continuer à se battre plus longtemps que la plupart des civilisations.
Les capacités civilisationnelles de Scythia sont celles des steppes. Cette capacité est telle que lorsque Tomiris construit une unité de cavalerie légère (ou les uniques archers de cavalerie Saka en Scythie), ils obtiendront une copie de cette unité gratuitement. Tomiris peut assembler très rapidement une grande armée d’unités lourdes, ce qui est particulièrement utile au début de la guerre. Les unités de cavalerie ne font pas bien contre les murs, donc attaquer tôt est toujours un bon plan. Une fois que les autres chefs auront commencé à construire les murs, Tomyris aura toujours accès à sa cavalerie extrêmement puissante, mais elle aura besoin d’unités de siège ou de mêlée (avec des unités de soutien) pour aider à abattre les murs en premier. Peu de chefs peuvent arrêter l’avancée de Tomyris, surtout si ce chef n’a pas déjà un mur dans sa ville.
Chacun de ces leaders est parfait pour tous ceux qui cherchent à dominer la victoire dans Civilization VI. Chacun a ses propres forces et faiblesses, mais s’il est utilisé correctement, ils peuvent tous être un cauchemar pour la confrontation. Les joueurs doivent se méfier lorsqu’ils commencent des guerres avec d’autres civilisations, d’autres conditions de victoire peuvent être plus difficiles à atteindre, voire presque impossibles comme une victoire diplomatique.
Civilisation 6 Disponible pour Linux, Mobile, Nintendo Switch, PC, PlayStation 4 et Xbox One.
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