Je pensais que j’avais abandonné la saga As avocat au cours de ces dernières années, que depuis Phoenix Wright : Ace Attorney – Esprit de justice il n’était pas revenu vers elle et que, eh bien, elle lui manquait. Ma surprise en me préparant à écrire sur The Great Ace Attorney Chronicles, en revanche, fut de découvrir que c’était en fait elle qui nous avait abandonnés.
Avec l’arrivée de son dernier jeu, cinq ans ont été passés en cale sèche en Occident et maintenant, six ans après la publication au Japon du premier opus de ce spin-off, on peut enfin accéder à l’histoire de comment l’ancêtre de Phoenix wright s’est rendu en Grande-Bretagne pour rencontrer le très Sherlock Holmes.
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Deux jeux très attendus
Bien que nous n’ayons pas encore été en mesure de plonger pleinement dans la compilation, qui comprendra des versions améliorées de The Great Ace Attorney : Aventures Oui The Great Ace Attorney 2: RésoudreOui, nous en avons vu assez pour comprendre de quoi il s’agissait avec la publication de ces deux épisodes en dehors du Japon.
Ce n’est plus seulement le fait d’avoir vu le ciel s’éclaircir un peu sur l’avenir de la saga de Capcom, c’est qu’il y a assez de chicha pour en faire la prochaine grande étape de la franchise. Il faudrait que beaucoup de choses changent le premier ou sa suite pour me faire changer d’avis sur ce qui reste du jeu.
Oserais-je dire que même au-dessus Esprit de justice, où en réalité ce qu’il y avait était un méli-mélo d’idées comme une compilation avec toutes les choses folles que la saga nous avait donné jusqu’à présent, et cela l’a fait tourner de plus en plus vers un fantasme qui me faisait bouler.
Au Les Chroniques du Grand As procureur la chose change complètement. Nous sommes à l’aube du 20e siècle et dans un monde où l’usage de la technologie est encore une utopie à ses balbutiements. Il n’y a pas de machines ou de pouvoirs magiques qui peuvent sauver notre cul dans un procès, mais la recherche d’indices, la déduction et le signalement des incohérences.
De nouvelles mécaniques qui se sentent bien
Il va sans dire que le changement ressemble à une fable, bien sûr, mais que revenir aux racines et laisser les spiritualismes et les pouvoirs spéciaux ne signifie pas qu’il manque de mécanismes au-delà des bases. La capacité de bricoler les indices en les faisant tourner ou en examinant minutieusement les preuves en main n’est que la pointe de l’iceberg.
Avec l’arrivée de Holmes -Herlock Sholmes à éviter les problèmes de droits d’auteur de ce côté du monde-, le Danse de la déduction, dans lequel mettre à sa place un détective à des kilomètres de ce à quoi on pourrait s’attendre soulignant ses erreurs lors de l’enquête sur une affaire.
D’autre part sont les Examens de synthèse, quelque chose comme un Encore une chose à la fin des procès devant jury (ils sont revenus) visant à signaler l’inexactitude entre les idées des membres pour renverser une phrase qui vise à nous nuire.
Entre une histoire prometteuse, des visuels mis à jour, et l’ajout de contenu supplémentaire, la seule chose qui pourrait déclencher une “Protest!” quand vient le temps d’analyser c’est le fait d’être entièrement en anglais. Un symbole de plus du peu de confiance qui continue d’être Capcom dans cette formidable saga.
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